La gangrène.
(image google)
Le bruit des bottes résonnent toujours. Elle n'a jamais cessée de résonner. On n'y pensait juste plus, cachés sous la cape pourtant pleine de trous de cette pseudo-démocratie bancale. Cette fausse République où les souris dansent. Celle où l'immonde est dédiabolisé. Accepté. Et pourtant la gangrène est là. La maladie de la haine, qui s'étend et se déploie. S'immisce lentement mais sûrement. Pour frapper de ses poings sanglants.
Dans les rues le soleil tant attendu a refait surface, et on se fiche de savoir que cette nuit, sous des vapeurs nauséeuses, une vie a été brisée sous une croix gammée. Le soleil est plus important. Et pourtant, un autre astre brûle certainement, une boule de feu dans le ventre de ceux qui, touchés en plein cœur, crient haut et fort: NO PASARAN.
JE VOUS CHIE DANS LES BOTTES.